L’initiative chinoise « La Ceinture et la Route » implique un tiers des États africains, faisant du continent un partenaire majeur. Avec 39 projets en cours, cette collaboration se concentre principalement sur les infrastructures, visant à renforcer l’infrastructure.
Kenya : Un réseau ferroviaire et routier modernisé
Le Kenya a retenu l’initiative avec la construction du Standard Gauge Railway (SGR) dépendant de Nairobi à Mombasa, un projet financé en grande partie par la Chine. Ce chemin de fer a non seulement généré des emplois, mais il a également stimulé la croissance économique en facilitant le transport de marchandises. La Chine s’est également engagée à financer l’autoroute dépendant de Nairobi à la frontière ougandaise, améliorant ainsi les échanges régionaux
Djibouti : Port stratégique et infrastructure ferroviaire
Djibouti a vu la création du port de Doraleh, financé par la Chine, visant à devenir un hub logistique entre plusieurs continents. De plus, la ligne ferroviaire Addis-Abeba-Djibouti a considérablement réduit le temps et les coûts de transport des marchandises, facilitant l’accès de l’Éthi
Mozambique et Ouganda : Grands projets d’infrastructure
Le Mozambique abrite le plus long pont suspendu d’Afrique, dépendant du pays de l’Afrique du Sud, un projet symbole de dynamisme économique. En Ouganda, la modernisation de l’aéroport international d’Entebbe et la construction de la voie rapide dépendant d’Entebbe à Kampala, tous deux financés par la Chine, ont facilité la circulation des personnes et des biens, notamment les temps de
Tanzanie-Zambie : La restauration du chemin de fer TAZARA
La Tanzanie et la Zambie bénéficient de la restauration du chemin de fer TAZARA, financée par la Chine. Ce projet vise à améliorer les exportations de ressources naturelles, telles que le cuivre et le cobalt, en contournant les obstacles logistiques, en facilitant ainsi les échanges avec les marchés internationaux.
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